Les JO de Berlin démystifiés

Vincent Reynouard

Vincent Reynouard dissipe les légendes malveillantes qui entourent les JO de Berlin, à commencer par celles qui concernent la victoire de Jesse Owens…

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Comme tout ce qui entoure le régime national-socialiste, les Jeux olympiques de Berlin de 1936 ont été et restent l'objet de légendes malveillantes.

La principale prétend que, le 4 août, Hitler aurait précipitamment quitté la tribune officielle, ulcéré et atterré par la large victoire du noir américain Jesse Owens sur l'aryen Luz Long dans l'épreuve du saut en longueur.

Vincent Reynovard démystifie ces Jeux devenus tabous en s'appuyant sur des documents d'époques.

Introduction
1: Quelques faits utiles à rappeler
- Des Jeux magnifiques
- Deux-poids-deux-mesures
- Quand l’autorité a du bon
- Contre les chrétiens bornés
- Sympathie allemande pour la France
- De quel côté du Rhin se trouvaient les “revanchards”?
- Hitler bénéficiait d’une protection minimale
- L’Allemagne hitlérienne, pays païen?
2: Les légendes malveillantes
- Deux remarques préliminaires 24
- L’Allemagne victime de la discrimination en 1920 et 1924
- « Racisme » aux Jeux olympiques de 1904 à Saint-Louis (États-Unis)
- Impudence éhontée
- Aucun racisme en Allemagne
- Jesse Owens ovationné par le public allemand
- Un mensonge éhonté de la Libre Belgique en 1986
- Hitler aurait dû quitter la tribune le 3 août
- La raison pour laquelle, le 3 août, Hitler n’a pas serré la main à Jesse Owens
- Ne jamais tirer de conclusions hâtives
3: De nombreux incidents qui pourraient être exploités
- Londres 1908
- Stockholm 1912, un Amérindien disqualifié
- Paris 1924, une équipe états-unienne agressée
- Amsterdam 1928, absence de la reine
4: Ce fameux 4 août 1936
- Une légende démentie 43 Hitler n’a pas quitté la tribune officielle
- Jesse Owens félicité par son adversaire et acclamé par le public
- Un document qui lave les accusations de racisme 46 Le racisme de Hitler exposé dans Mein Kampf
- La victoire de Jesse Owens ne remettait pas en cause les théories racistes de Hitler
- Le seul incident « raciste » des Jeux olympiques de Berlin
- Le chef d’État qui a bel et bien dédaigné de saluer Jesse Owens
Conclusion