La démocratie est incompatible avec la pensée de droite

Loin d’être un système « neutre », la démocratie est au contraire intrinsèquement perverse : elle ne peut servir le Bien commun que dans la mesure où ceux qui en usent ne le font que pour la subvertir, et l’annoncent ouvertement. On ne peut être de droite, de vraie droite, de droite radicale, et consentir à jouer la carte démocratique, que si l’on commence par dénoncer les vices qui sont consubstantiels à toute démocratie. On ne peut efficacement enrayer, par le mode d’action démocratique, les effets pervers de la démocratie, ou faire jouer la démocratie contre elle-même, que si l’on commence par se proposer, explicitement, de la détruire.

Table des matières

Introduction

• La cause du fatalisme des bonnes gens
• Une société où règle le subjectivisme
• La fin prévisible de la société de consommation et les deux seules alternatives qui s’offriront
• Entre le fascisme et le communisme, il n’y a pas de milieu
• Une réaction est-elle possible?

I . Le critère de la vraie droite

• Qu’est-ce que la «droite»?
• Qu’est-ce que la «gauche»?
• Une notion différente de l’autorité
  

II . La démocratie n’est pas neutre

• La démocratie n’est pas un chapeau vide

III . Il n’y a rien à attendre du parlementarisme

• Se prétendre démocrate uniquement par stratégie est inefficace

IV . Aux « braves gens » qui veulent l'ordre sans le fascisme

• La démocratie ne peut permettre l’expression d’une volonté droite
• L’illusion de la «démocratie chrétienne»

Conclusion