La jeunesse dans le Troisième Reich

Cette brochure traite de la place de la jeunesse dans le Troisième Reich grâce à deux textes de l’époque de la guerre:

La jeunesse au travail
de Willi Jung
«Faire le nécessaire pour l’entretien et le contrôle de sa santé, créer de nouvelles organisations pour la protection des jeunes travailleurs, pour empêcher leur exploitation et prévenir tout dommage au corps et à l’âme, perfectionner les organisations déjà existantes à ces diverses fins, multiplier les suggestions en vue d’une judicieuse et rationnelle utilisation des loisirs, présenter aux jeunes des possibilités variées de prendre contact avec leur pays et avec l’univers: telles sont, dans leurs grandes lignes, les directives dont s’inspire l’information pratique d’une politique sociale de la
jeunesse, telle que l’a réalisée le Reich.»

La jeunesse dans la nouvelle législation allemande
de Rudolf Kempe
Les nationaux-socialistes n’ont pas été les premiers à exiger que tout individu bien doué doive avoir la possibilité de parvenir à la place qui convient à ses aptitudes, même si la bourse paternelle n’est pas en état de supporter les frais de l’instruction; mais tandis qu’autrefois toutes les mesures prises tenaient compte surtout de l’avantage personnel, elles dépendent aujourd’hui de la valeur
qu’elles revêtent en fonction de l’intérêt général.

Voilà pourquoi les nationaux-socialistes on mis au point un système pour découvrir et à encourager les aptitudes. Dans ce système de l’encouragement, on tient compte du fait que, d’une part, toutes les professions réclament des individus doués et que la carrière universitaire ne constitue qu’une partie de ces branches professionnelles, et que d’autre part des différences d’appréciation ne peuvent repo- ser que sur le rendement dans le domaine de la vocation et non sur la profession en elle-même.